Est-ce que vous vous sentez débordée, envahie, écrasée, oppressée? Savez-vous ce qui provoque ce mal-être, qui peut aller jusqu’à l’angoisse? Je l’appelle, le « trop, c’est trop. »
Trop de quoi?
En vérifiant ce qui a pu provoquer cet état, vous trouverez d’abord ce qui a généré ce trop-plein : la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, le poids de plus qui est venu vous mettre à terre alors que vous essayiez tant bien que mal de vous maintenir sur le fil comme un funambule. Est-ce la remarque acerbe d’une collègue, le retard de votre amoureux, l’augmentation du prix de l’essence, le verre que vous venez de casser, votre mère qui vient de vous appeler pour parler uniquement de ses problèmes, votre ex qui vous a encore envoyé un sms incendiaire, le plat que vous venez de rater, la vidéo de Lilou Macé dont l’invitée est une énième thérapeute qui sait, elle, comment être plus légère – mais bon sang, pourquoi, moi, je n’y arrive pas malgré tous mes efforts?
En réalité ce n’est pas un déclencheur extérieur qui vous a mis dans cet état, mais une pensée de trop : « Je ne m’en sortirai jamais / La vie n’a aucun sens / Je n’y arriverai pas / Je suis trop nulle / Les autres font mieux que moi / À quoi bon… »
Ce qui est en trop? Votre commentaire sur la situation.
La charge mentale, c’est vous qui la créez. La situation, elle, est telle qu’elle est. Le poids de vos pensées est pire que la situation elle-même : pourtant invisibles, immatérielles, les pensées négatives peuvent peser des tonnes !
Quelle est la véritable origine du « trop c’est trop » ?
Et bien, c’est le : » Jamais assez! »
En effet, pour que le « trop-plein » soit atteint, il a bien fallu que vous laissiez la cuve se remplir jusqu’à ras bord ! Vous avez laissé le trop-plein s’installer, sans dire STOOOP au bon moment. Parce que « ce n’est jamais assez ».
Cette croyance vous aveugle : ce n’est jamais assez…
Je ne suis pas assez… belle, intelligente, riche, célèbre, aimée, compétente…. Il y a aussi le « j’ai besoin de plus… d’amour, de reconnaissance, de temps, d'argent, d’amis, de vacances., de lien avec les autres…
Quelle est la conséquence logique du « jamais assez » ?
En faire toujours trop, supporter toujours plus, courir après le temps, les autres, l’amour, l'argent… chercher à vous améliorer toujours plus pour être toujours mieux (plutôt qu’être satisfaite de ce que vous êtes déjà…)
Pour vous, en ce moment, c’est quoi votre « pas assez » ?
- Je ne suis pas assez ………………….. (compétente, belle, joyeuse, créative, riche, jeune, intelligente, cultivée, mince…)
- Je n’ai pas assez de……………………… (reconnaissance, d’amour, d’argent, de temps,…)
Qu’est ce que ce « pas assez » vous pousse à faire?
Exemple : je fais des heures sup’ / je ne dis jamais non aux sollicitations / je continue à aller voir ma mère pour l’aider alors que je suis débordée / je consulte trois thérapeutes par mois / Je fais des to do liste de 10 kms / je mange trop ou je bois trop / je passe un temps fou sur les réseaux sociaux pour vérifier mes like et publier un post par jour (pour qu’on ne m’oublie pas) / je passe des heures à regarder des vidéos de dév’ perso pour aller mieux au lieu de me ficher la paix/ j’achète des produits cosmétiques et je m’en tartine pour éviter plus de rides / je me force à sourire tout le temps alors que je n’en ai pas envie / Je dépense de l’argent pour me détendre. / Je dis oui à toutes les soirées où je suis invitée…
Le « trop c’est trop » est finalement une bonne chose : pourquoi?
Parce que quand c’est trop, quand ça déborde, vous n’avez plus le choix : vous ne pouvez pas en rajouter !
La goutte d’eau en trop est un repère, de même que votre état de stress ou d’angoisse : ce sont des signaux d’alarme qui vous guident. Si vous trop-plein est dépassé, alors que faire, logiquement?
Appuyez sur le bouton : STOP… ou OFF si vous préférez (ce qui veut dire en anglais : « à l’arrêt »).
Asseyez-vous et observez
Prenez conscience que vous êtes assise.
Observez autour de vous. Où est le problème ? Je veux dire concrètement, physiquement? En fait, il est d’abord dans votre tête. Là maintenant, le problème existe surtout, voire uniquement, dans votre tête, non? En fait, il s’est passé quelque chose, s’est déroulé (dans le passé, même très récent), sur lequel vos pensées sont focalisées en ce moment dans votre tête et vous créez peut-être des films sur un futur probable qui n’est pas encore là.
Bon. Restez tranquillement assise et observez ce qui se passe dans votre tête…
Regardez autour de vous : les meubles sont à leur place, vous êtes installée sur une chaise ou un lit, le plafond est au-dessus de votre tête, le sol sous vos pieds, à leur place. Votre tête se trouve en haut, vos pieds en bas… Vous lisez ces mots, vos doigts font défiler le texte. Le soleil est dans le ciel, même si des nuages le cachent.
Tandis que dans votre tête, vos pensées vont et viennent, s’agitent, s’agglutinent, tournent en boucle ou défilent comme des nuages dans le ciel. Vous êtes assise, à me lire, et dans votre tête, il se passe des tas de choses, invisibles à l’oeil nu. Votre corps lui, est simplement posé sur une chaise, et vous me lisez. Où sont les problèmes?
Prenez conscience que vous êtes le propriétaire de votre tête, responsable de ce qui y entre et en sort. Vos pensées restent coincées dans votre tête parce que vous les retenez, vous les écoutez, vous vous y agrippez.
Laissez les pensées vous traverser… Comme le vent qui passe au travers des feuilles des arbres. Ou l’eau quand vous prenez votre douche. Vos pensées ne font que passer si vous ne les retenez pas. Ouvrez-leur une porte, par exemple par l’oreille gauche… Elles sortent en file indienne, regardez, comme une guirlande. Elle bougent, elles défilent, et vous, vous êtes là assise, à me lire. Immobile. En ce moment précis. Les pensées passent. Tout passe. Et vous, vous êtes là, simplement.
Vous voulez toujours ce que vous n’avez pas et vous ne voulez pas ce que vous avez. Faites l’inverse: ne voulez pas ce que vous n’avez pas et voulez ce que vous avez. C‘est ainsi que vous vivrez toujours en paix.
Nisargadatta Maharaj
Accepter ce qui est
« Mais », me direz vous, « si j’ai mal au dos, et que je ne veux pas avoir mal au dos, c’est ridicule ! Je ne vais pas me mentir ! J’ai mal au dos, tout de même! Sinon, je ne ferai rien pour me guérir ! Je n’ai pas envie d’accepter mon mal de dos ! »
Certes, mais c’est ce qui vous arrive, là maintenant. C’est ainsi. Si vous combattez ce qui est, vous créez encore plus de tensions.
Observez ce qui arrive, ne fuyez pas, ne jugez pas, ne rajoutez pas de tensions, de stress, de frustrations, de commentaires. Dramatiser une situation empêche le flux naturel de l’énergie : « je ne devrais pas avoir mal au dos, ce n’est pas normal. D’ailleurs c’est ma faute, je n’aurais pas dû aider cette amie à déménager. J’aurais dû m’écouter, c’est tout moi, ça, ça m’apprendra, j’en ai plein le dos maintenant. Je m’en veux : Avec tout ce que je lis, mes thérapies, mes intuitions, comment me suis-je laissée avoir? Pourquoi je ne me suis pas écoutée? Je dis à tout le monde qu’il faut s’écouter et je ne suis pas capable de le faire. Je n’en suis encore que là! Quand serais-je enfin éveillée?… »
Vous vous entendez quand vous pensez? Et si vous observiez simplement les faits ? Et si vous laissiez les choses se produire, simplement ? Je me souviens avoir lu l’histoire d’un homme qui travaillait sur un chantier, et qui s’est retrouvé coincé dans un grand tuyau en béton. Il désespérait de sortir, forçant et se débattant. Rien n’y faisait. Épuisé, il a décidé de ne plus s’acharner. Advienne que pourra… Son corps s’est détendu, il a senti plus d’espace entre lui et les parois du tuyau, et il a réussi à en sortir.
Mon dos est coincé et me force à rester immobile.
Soyez simple.
Dans un premier temps, acceptez ce fait : « Mon dos est coincé ». Ce qui vous fait le plus souffrir sont vos pensées sur le fait que vous ne devriez pas être coincé du dos. Que vous avez à faire tant de choses. Stop… Vous prendre la tête à cause de votre dos (;-), n’apporte que plus de souffrance. Trop c’est trop. Il n’y a qu’une seule chose à faire. Respirer, observer ce que vous ressentez, et appeler votre ostéopathe.
Ce qui est en trop, ce sont vos pensées négatives. Comme des mouches, elles s’agglutinent à une situation dès que vous la considérez comme un problème. Vos pensées se collent instantanément sur les problèmes et s’en nourrissent.
Laissez de l’air au problème ! Si vous êtes oppressée, c’est parce que vous ne laissez aucune place à la solution pour se déployer ! Laissez respirer le truc, laisser de la place au noeud pour qu’il puisse se dénouer, plutôt que de tirer encore plus fort sur les deux bouts. Avec de l’espace, la situation se résoudra dans la fluidité, gracieusement.
Bon… Votre dos est coincé? Laissez lui de l’espace, respirez, ouvrez de l’espace à cet endroit, de même que laissez respirer le problème, respirez dedans, ne le coincez pas encore plus avec vos pensées étouffantes !
La magie de l’observation
Observer, c’est regarder sans émettre aucun commentaire sur la situation.
Par exemple, « j’ai mal au dos » : j’observe les sensations, les tensions, les pensées qui surgissent la douleur au dos ET je cale mon dos le plus confortablement possible. Je lui porte toute mon attention. Je m’accueille et j’accueille mes émotions, et mes sensations. Je ne repousse rien de ce que j’observe. Je respire, j’aère. C’est tout ce qu’il y a à faire dans un premier temps.
Si par exemple j’ai peur : j’observe cette peur comme un objet, et les pensées qui en sont la source. Je regarde, sans commentaire; je respire, je fais de l’air, j’ouvre un espace pour que la peu ne s’étouffe pas, pour qu’elle puisse se déployer, se détendre, se dissoudre peu à peu. Comme le nuage après la pluie. Je ressens que tout est dans ma tête. La peut est là. Je la sors par mes deux oreilles. Je fais les exercices conseillés ici.
EXERCICE : pratiquer le minimalisme mental
- Racontez votre « problème » par écrit, en détail, avec toutes les émotions que cette situation suscite en vous.
- Relisez le texte puis retirez tous les mots et les phrases qui évoquent un quelconque commentaire : émotions, sensations, pensées, jugements, etc. Restez en uniquement aux faits (j’ai fait ceci, il a dit cela, il s’est passé cela… etc).
- Observer qu’en retirant ce qui est en trop, le problème devient moins dramatique, et que la solution se révèle naturellement.
Finalement, quel est le problème?
L’étymologie de problème vient du latin : « question à résoudre ». Comme dit le Dalai Lama : « Quand vous êtes face à un problème, nul besoin d’en faire une montagne de douleur : soit il y a une solution et vous finirez bien par la trouver, soit il n’y a aucune solution et dans ce cas rien ne sert de vous torturer. »
Ne pas créer de problème est la solution idéale.
QUESTION : comment avez-vous créé le problème ? Comment avez-vous laissé la cuve déborder ?
En n’osant pas dire ce que vous vouliez? En laissant faire ? En ne vous écoutant pas? En attendant quelque chose des autres?
Il n’y a pas de problème : il n’y a que des défis, des expériences, ou des opportunité de grandir.
Dans tout problème se trouve la solution
Le mal de dos est déjà en soi la solution, car c’est l’appel à l’équilibre : « Arrête-toi, immobilise-toi. Ancre toi dans ton corps, occupe toi de toi d’abord. »…
Chaque problème cache un enseignement, un message, une solution à découvrir comme un trésor bien caché.
Réfléchissons calmement… Respirons.
Un mouvement a coincé votre dos, c’était quand vous avez déménagé votre amie. Comment étiez-vous à ce moment-là?
En contradiction : « je déménage mon amie MAIS je n’en ai pas envie ».
Quand on est tiraillé, le corps se tend. Cette tension a été accrue par vos efforts excessifs pour dépasser vos résistances. Oui, tout est parfaitement logique, évident, et juste.
La solution est évidente : « quand tu acceptes d’aider quelqu’un, vérifie d’abord si tu en as envie, si tu es totalement disponible pour cela, si tu es en état, si c’est le bon moment pour toi, et en fonction de cette réflexion, agis dans le sens de ton bien-être. »
Quelle est la solution à votre problème, l’enseignement caché? Quelle est l’opportunité qui s’ouvre si vous ne fuyez pas le problème et si vous ne le combattez pas?
EXERCICE : trouver la solution cachée dans mon problème
Reprenez le texte qui raconte votre problème de manière objective, sans les commentaires, comme un fait, et définissez la solution, ou une action à faire pour résoudre ou améliorer la situation (partir, parler, faire un procès, déménager, demander de l’aide, se changer les idées, contacter quelqu’un, etc…)
Faire ou ne pas faire : that is the question
Ce que vous vivez, quelle que soit la situation en question, est finalement une recherche d’équilibre. Cherchez ce qui a causé le déséquilibre, dans le trop, ou le pas assez… et alors, vous saurez quoi faire ou ne pas faire.
Vous trouverez l’équilibre, en restant tranquille dans le moment présent, en avançant pas à pas, moment après moment, sans lutter, comme l’eau qui coule et contourne chaque obstacle qui se dresse sur son chemin, souple, fluide, puissante.
Si un funambule sent qu’il perd l’équilibre, il n’avance plus, il s’arrête le temps de stabiliser son équilibre, puis il redistribue son poids de manière identique des deux côtés. Une fois stable, il se remet à avancer.
Pourquoi ce qui se passe est toujours ce qui doit être?
Comment ne pas tomber dans le piège du « ça devrait être mieux » (sous-entendu « ça devrait être autrement que ce qui est »). Comment ne pas vous retrouver en train de lutter contre le problème, d’entrer en conflit avec lui, de vous battre contre ce qui est?
Considérez que tout EST ce qui est, tel que c’est.
Regardez les vagues, elles vont elles viennent. Pas de but en soi, plus de vent, plus de vague, moins de vent, moins de vague. L’arbre ne force pas ses feuilles ou ses fruits à pousser, ils se laissent pousser. L’action en soi se fait, sans effort. Calmement. Paisiblement. Le résultat est alors miraculeux quand l’observation et le calme sont là : il y a action mais elle se fait, au bon moment. Au bon endroit. Elle surgit.
Sortez du » je vais lui dire ceci, il faudra que je fasse cela à ce moment-là ». Bien sûr, dans certains cas, prévoir vos actions peut être bénéfique, mais pas quand « trop c’est trop », car vous allez encore en rajouter au lieu d’alléger. Ce n’est pas le moment. Plus trad, quand vous aurez retrouvé votre stabilité.
Une astuce : souriez
Souriez, pour rien. Souriez à ce qui se passe, au mal de dos, à ce qui est. Vous êtes libre de faire cela au moins.
Sourire détend la mâchoire et les muscles du dos et du visage, calme le coeur, apaise le cerveau. Si vous êtes capable de sourire. le cerveau pense qu’il n’y a pas de problème, même si vous savez que vous faites un peu semblant. Des signaux biochimiques sont envoyés au corps pour lui signaler que tout va bien : pas de tigre mangeur d’homme à l’horizon, tout va bien. Le corps de détend.
Rajoutez la respiration : Respirez lentement pour accompagner le processus. De grandes respirations, lentes et profondes, signalent au cerveau : tout est OK. Demi-sourire du bouddha et respiration. Pour retrouver l’équilibre, relâcher la pression, calmer le cerveau et le corps. C’est simple.
Tenez. Là, en me lisant, souriez, et sentez que vous vous détendez naturellement. Sourire et respirer sont les deux meilleurs médicaments du monde.
Souriez à cette amie que vous avez déménagé. Souriez à votre dos, qui vous rappelle de porter attention à vous-même et qui vous force à ne plus bouger. Souriez à vos pensées absurdes, elles ne font que passer. Souriez, car vous êtes toujours plus grand que vos soit-disants problèmes.
Souriez à ce qui vous arrive, à vos blocages et vos peurs, à ce monde qui semble n’avoir ni queue ni tête, souriez au soleil qui continue de se lever chaque jour, à l’oiseau qui chante, à votre torticolis, à cette personne qui vous a dénigré. En souriant, vous reprenez votre pouvoir, vous êtes indestructible. Souriez aux factures que vous n’arrivez pas à régler : est-ce que votre compte en banque définit qui vous êtes? Vous êtes inestimable, avec ou sans argent !
Souriez à vous-même.
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ACTION : la pratique minimaliste pour sortir du « trop c’est trop »
Trouvez un endroit calme, tranquille, et asseyez-vous. Un parc, ou la nature, serait l’idéal, ou un café agréable où vous vous sentez bien.
- Ressentez durant quelques minutes le moment présent, sentez vos tensions, votre état intérieur, votre humeur. Observez vos pensées. Ne fuyez pas, ne résistez pas, ne jugez pas. Prenez juste conscience que vos pensées sont virtuelles, que le problème, s’il y en a un, est coincé dans votre tête. Ne projetez rien sur les faits, sur la situation.
- Racontez votre problème à l’écrit.
- Relisez et retirez tout commentaire, toute émotion, tout bruit en trop. Ne gardez que les faits. Ressentez que vos émotions se calment avec cet exercice, que le problème est poins dramatique.
- Observez maintenant la situation, en souriant, en respirant. Sans vos pensées, sans commentaire. Sans jugement. Neutre. Détaché. Demi-sourire du bouddha. Posez votre conscience sur ce qui est, comme une plume légère.
- Est-ce qu’une ou plusieurs solutions émergent? Prenez en note. Mais ne décidez rien encore.
- Respirez et souriez,
- Dites-vous : « je suis au bon endroit… je suis là où je dois être… Cette expérience m’a appris ceci, ou cela… Et maintenant, me voici ici. Tout simplement, assise. C’est là où je dois être maintenant. Tout est bien ainsi. »
Pendant ce temps, respirez toujours en conscience, ressentez vos pieds bien posés au sol. Sentez le sol, solide, la terre sous vos pieds…
Respirez depuis la plante de vos pieds jusqu’au-dessus de votre tête dans le soleil, puis expirez du soleil jusque dans vos pieds et au-delà. Rayonnez votre lumière tout autour de vous à l’infini. Les ombres s’estompent d’elles-même.
Quand vous vous sentez posée, stable, vérifiez les solutions qui ont émergé, et prenez éventuellement une décision ou agissez en conséquence.
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